6 juin 2007
Le degout et le mal de vivre du 21 siecle
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La grippe aviaire fait trembler les gouvernements du monde entier. Une certaine presse étrangère amplifie le problème d’une manière dramatique. Le désordre mondial, investit notre vie quotidienne, et donne naissance à une nouvelle civilisation ou la décision d’un ministre, un gouvernement, ou un parlement d’un seul pays Spécifique n’y peut rien devant les problèmes qui menacent l’humanité. Le sida, La grippe aviaire, la pollution, etc. le tableau est sombre. Le problème concerne tout le peuple, et toute la planète. Nous avons le droit de savoir, et le droit de savoir comment nous préparer, pour nous défendre en cas de pandémie. Les anciens dogmes, les anciennes idéologies auxquels nous tenions tant, si utiles qu’ils aient été autrefois, ne correspondent plus aux réalités d’aujourd’hui. Le gouvernement tout seul ne peut résoudre tous nos problèmes. Dans le cas de la grippe aviaire que nous ne connaissons pas pour le moment, il est très difficile de surveiller tous les oiseaux qui survolent notre continent. Il faut se grouper avec tous nos voisins et impliquer toute les population sans semer la terreur dans l’esprit des gens. Aucun pays ne peut se croire à l'abri, avertissent les experts vétérinaires réunis à Paris. Dans sa déclaration finale, l'OIE note que "tous les pays du monde doivent contrôler le virus", faute de quoi "le reste de la planète serait confronté à un grave péril". |
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